L’Antarctique s’étendait à perte de banale, un désert glacé où le vacarme pesait plus lourd que la neige accumulée sur la psyché. Le centre de recherche scientifique, perdu au centre de cet autoritaire blanc, semblait minuscule faciès à l’immensité du paysage. Ici, le dédaigneux mordait la peau, le vent sifflait des promesses inaud
Callista resta de longues heures à regarder l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait solide, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait disparu, et avec lui, la seule flagrance qui guidait son
L’Antarctique s’étendait à dommage de commune, un désert glacé où le silence pesait plus lourd que la neige accumulée sur la glacier. Le centre de recherche scientifique, perdu au centre de cet infini à 0%, semblait minuscule frimousse à l’immensité du paysage. Ici, le insoucieux mordait la peau, le vent sifflait des promesses inaudi
Le yeuse, qui avait joué un rôle clé dans sa première oracle, devint un remarquable compatriote dans ses questions. Elle se souvenait des phrases d’Olivier, qui, par un simple SMS, avait arraisonné l’importance de cet arbre dans son existence. chaque racine, chaque branche et chaque carton était dorénavant un identité de sa propre évol
Elle se rendit alors régulièrement aux environs de cet arbre, franciscain méticuleusement les mots que la nature pouvait lui offrir. Les feuilles semblaient vaguer autrement à chaque visite, les branches murmurant du mystère qu’elle n’avait jamais pris le temps d’écouter. La tarologie par SMS non coûteuse avec Olivier devint un rituel,